jeudi, août 28, 2008

PETIT BONHEUR: LE VIEUX LÉON, DE ET PAR BRASSENS

À mon humble avis, le plus grand «faiseur» de chanson francophone du (dernier) siècle: l'immense Brassens. Je lui ai consacré un chapitre dans un des mes livres (Trames)

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Tu m'étonnes que Brassens est énorme.

Normand Baillargeon a dit…

Content de croiser quelqu'un qui l'aime aussi. C'est à mon avis une oeuvre majeure et riche.Et cette écriture! Prenez Le Vieux Léon, justement: tous ces vers de 4 pieds enlignés tranquilement.
Brave Tonton Georges.

Normand

Anonyme a dit…

Mon père était fan, alors je peux te dire que j'en ai mangé du Brassens.
Il m'en a presque dégouté le bougre. Quelques années plus tard que je m'y suis repenché, via "l'orage". Du coup je m'y suis carrément vautré avec délectation.
De plus le fait d'être plus agé ma permis de mieux comprendre nombre de ses paroles dont le sens alors m'avait échapé.
j'aime particulièrement "les 2 oncles"
Il avait tout compris au film Brassens qu'en tu y penses.

Brassens not dead !

Normand Baillargeon a dit…

Bonjour,

Brassens avait compris pas mal de choses; en fait, ses chansons témoignent d'une pensée sociale et politique très articulée. Il était anar, comme vous le savez sans doute; et oo voit bien, à le lire et à l'entendre, qu'il avait beaucoup lu et réfléchi, même s'il restait très modeste et ne posait jamais en donneur de leçons. Un homme superbe et je regrette fort de ne pas avoir pu le rencontrer .

Normand B.

Anonyme a dit…

Bonjour,

A-t-on le droit de préférer les chansons "paillardes" de Brassens ? ("Le Pornographe", par exemple, est un petit bijou.)

Normand Baillargeon a dit…

Bien sûr. Et aussi Mélanie, Fernande,... «Tout est bon chez lui, y'a rien à jeter/ Sur l'île déserte, il faut tout emporter».

Normand