tag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post1556372134344662893..comments2023-12-18T01:16:54.144-05:00Comments on Normand Baillargeon: UNE PROPOSITION POUR L’UNIVERSITÉNormand Baillargeonhttp://www.blogger.com/profile/15591515802287359965noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-67282848486452337932008-08-31T08:03:00.000-04:002008-08-31T08:03:00.000-04:00Bonjour Michel,Les salles de quille, je veux bien...Bonjour Michel,<BR/><BR/>Les salles de quille, je veux bien, mais la danse, ce serait un horreur- je ne sais pas danser et tous ceux qui ont essayé de m'apprendre ont abandonné par découragement.<BR/><BR/>Ceci dit, il y a du boulot, c'est vrai: mais je fais avec plaisir le petit peu que je sais faire.<BR/><BR/>N.Normand Baillargeonhttps://www.blogger.com/profile/15591515802287359965noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-90111096248472135822008-08-30T23:11:00.000-04:002008-08-30T23:11:00.000-04:00Les sciences sociales ont toujours été menacées au...Les sciences sociales ont toujours été menacées au sein de l'université. Il y a bien eu un engouement dans les années 60 et 70, mais dans nos sociétés occidentales cela est perçu comme un luxe que seule la période des "trente glorieuses" pouvait justifier. Tant qu'aux sciences de la nature, elles ne sont utiles dans la mesure où les industries en ont besoin.<BR/><BR/>L'université dissidente est une bonne idée, mais la possibilité que cela puisse se faire au Québec est bien minime. Pour que votre idée face son petit bout de chemin en dehors des cercles de gauche, il faudrait que vous vous mettiez vraiment à fréquenter les salles de quilles et de vous inscrire à des cours de danse sociale. Écrire sur le hockey ne vous rapprochera pas nécessairement des gens ordinaires. D'ailleurs, une proportion importante (les trois quart d'après moi) de ceux qui s'intéresse de près à ce sport ont entre un secondaire 3 et un dec technique (ici je fais référence aux adultes). Et souvent ces mêmes personnes ne s'intéressent guère à l'éducation et la politique. Leurs aspirations se résumes à avoir un bon travail, une bonne paye, pouvoir s'amuser quelque fois ou souvent et peut-être avoir une conjointe et des enfants.<BR/><BR/>Vraiment, il vous reste un grand bout de chemin à faire avant de sortir ces gens de l'apathie. Croyez-moi, j'ai essayé avec mon frère, mon père et ma soeur (qui est enseignante).Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-17111015115090130962008-08-27T17:13:00.000-04:002008-08-27T17:13:00.000-04:00Bonjour, Il est remarquable de voir à quel point c...Bonjour, <BR/><BR/>Il est remarquable de voir à quel point ce que vous décrivez s'applique ici même, textuellement.<BR/><BR/>L'idée d'université dissidente présente bien sûr des difficultés de réalisation, mais je ne le spense pas insoumontables — en tout cas d'autres les ont déjà surmontées.<BR/><BR/>Cordialement,<BR/><BR/>Normand B.Normand Baillargeonhttps://www.blogger.com/profile/15591515802287359965noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-14811094338235425152008-08-27T13:45:00.000-04:002008-08-27T13:45:00.000-04:00Petit mot d'outre-atlantique (France), où la malad...Petit mot d'outre-atlantique (France), où la maladie se propage désormais par le biais de lois permettant à l'université d'être gérée comme une véritable entreprise : fini l'avis des scientifiques et vive l'avènement des conseils d'administration avec président d'université-PDG et "personnalités de la vie économique" (j'aime bien la tournure). <BR/>Les sciences sociales sont toutes menacées et le coup de grâce est portée à la recherche fondamentale . L'université devient donc une bonne fois pour toute une usine à formater des "travailleurs hautement qualifiés" (puisque les financements viennent aussi désormais de grands groupes qui mettront de l'argent dans les sections dites rentables) et non plus un lieu de savoir et de partage.<BR/>Pour en revenir à l'idée d'université "dissidente", elle est particulièrement séduisante mais qui voudra bien financer une institution sans "retour sur investissement" ? Le problème, ce n'est pas le financement d'une telle institution, bien sûr, mais son indépendance ... une qualité de plus en plus mal vue.Aknothttps://www.blogger.com/profile/01563827268055311295noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-25990020013768460632008-08-26T19:59:00.000-04:002008-08-26T19:59:00.000-04:00Bonjour,La linguistique, tout de même! Chomsky à l...Bonjour,<BR/>La linguistique, tout de même! Chomsky à la trappe.<BR/>À L'UQAM, dans le contexte que vous savez sans oute, la direction a fait circuler une liste dite orange de départements menacés. Il y en avait plusieurs, dont Chimie et... philosophie.Philosophie!<BR/>Pendant ce temps, on a ouvert un programme de tourisme gastronomique. Rentable, ça. Pas comme la philo.<BR/><BR/>Ceci dit, je pense que le numéro d'À Bâbord va être chouette.<BR/><BR/>Cordialement. (Et bonne rentrée)<BR/><BR/>NormandNormand Baillargeonhttps://www.blogger.com/profile/15591515802287359965noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8513666718595422832.post-43616840289346126252008-08-26T19:13:00.000-04:002008-08-26T19:13:00.000-04:00L'idée est audacieuse et intéressante!Sur une note...L'idée est audacieuse et intéressante!<BR/><BR/><BR/>Sur une note un peu plus personnelle, je peux moi-même témoigner que l'université est devenue une grosse entreprise : au printemps dernier, juste avant les examens de fin de session, on nous annoncé que le baccalauréat en linguistique (à l'Université de Montréal) serait fermé d'ici deux ans, et que les inscriptions étaient suspendues. Pas assez rentable, semble-t-il.Marc-Olivierhttps://www.blogger.com/profile/13892576655754730296noreply@blogger.com